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27 mai 2022 5 27 /05 /mai /2022 18:27
L'ESCROQUERIE IMMOBILIÈRE APOLLONIA À 1 MILLIARD D'EUROS : procès annoncé pour le printemps 2023 (Article Figaro)
L'ESCROQUERIE IMMOBILIÈRE APOLLONIA À 1 MILLIARD D'EUROS : procès annoncé pour le printemps 2023 (Article Figaro)
L'ESCROQUERIE IMMOBILIÈRE APOLLONIA À 1 MILLIARD D'EUROS : procès annoncé pour le printemps 2023 (Article Figaro)
L'ESCROQUERIE IMMOBILIÈRE APOLLONIA À 1 MILLIARD D'EUROS : procès annoncé pour le printemps 2023 (Article Figaro)

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21 mai 2022 6 21 /05 /mai /2022 15:11
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5 mai 2022 4 05 /05 /mai /2022 20:48
DES NOTAIRES S'INQUIÈTENT DE LA DEPENDANCE CROISSANTE DE LA PROFESSION À L'ÉGARD DES PRESTATAIRES DE SERVICES INFORMATIQUES

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 18:23
AU CONSEIL DES MINISTRES : Projet de loi ratifiant l'ordonnance relative à la déontologie et la discipline des OM
AU CONSEIL DES MINISTRES : Projet de loi ratifiant l'ordonnance relative à la déontologie et la discipline des OM
Le garde des Sceaux, ministre de la Justice, a présenté un projet de loi ratifiant l’ordonnance n° 2022-544 du 13 avril 2022 relative à la déontologie et à la discipline des officiers ministériels.
Cette ordonnance, prise sur le fondement de l’article 41 de la loi n°2021-1729 du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire, intervient à la suite d’un rapport de l’inspection générale de la justice du 15 décembre 2020, qui pointait la complexité et l’hétérogénéité des régimes disciplinaires des professions.
L’objectif de cette ordonnance est d’unifier et de simplifier le régime disciplinaire des officiers publics ou ministériels, afin d’assurer une meilleure lisibilité des règles applicables. L’ordonnance vise également à améliorer le traitement des réclamations des usagers ainsi que les modalités de contrôle disciplinaire. Pour cela, elle réunit au sein d’un même texte l’ensemble des principes destinés à régir la discipline des officiers ministériels.
Cette ordonnance entrera en vigueur le 1er juillet 2022, à l’exception des dispositions relatives aux collèges de déontologie qui sont dès à présent applicables, afin de permettre à ces nouvelles institutions de participer à l’élaboration des codes de déontologie des professions.
 

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 14:33
IDEM (GRANDE DÉSILLUSION) POUR LES JEUNES AVOCATS : Ne serait-il pas temps de moderniser les services juridiques en France ? Et si la solution passait par la "grande profession du droit", déjà évoquée à maintes reprises, et par de grands noms (Badinter, Attali, Darrois, ...) ?
IDEM (GRANDE DÉSILLUSION) POUR LES JEUNES AVOCATS : Ne serait-il pas temps de moderniser les services juridiques en France ? Et si la solution passait par la "grande profession du droit", déjà évoquée à maintes reprises, et par de grands noms (Badinter, Attali, Darrois, ...) ?
IDEM (GRANDE DÉSILLUSION) POUR LES JEUNES AVOCATS : Ne serait-il pas temps de moderniser les services juridiques en France ? Et si la solution passait par la "grande profession du droit", déjà évoquée à maintes reprises, et par de grands noms (Badinter, Attali, Darrois, ...) ?

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 14:18
LA GRANDE DÉSILLUSION DES NOTAIRES SALARIÉS (Article Le Figaro)
LA GRANDE DÉSILLUSION DES NOTAIRES SALARIÉS (Article Le Figaro)
LA GRANDE DÉSILLUSION DES NOTAIRES SALARIÉS (Article Le Figaro)
LA GRANDE DÉSILLUSION DES NOTAIRES SALARIÉS (Article Le Figaro)

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29 avril 2022 5 29 /04 /avril /2022 10:55
LES CHAMBRES RÉGIONALES DE DISCIPLINE SONT DÉTERMINÉES : pour en finir avec les jeux d'influence locaux, les conflits d'intérêts, l'instrumentalisation des instances, ... ?

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28 avril 2022 4 28 /04 /avril /2022 10:54
LE CONSEIL D'ETAT APPELLE, AU BÉNÉFICE DES AVOCATS, AU RESPECT DU "PRINCIPE DE LIBRE CONCURRENCE"
LE CONSEIL D'ETAT APPELLE, AU BÉNÉFICE DES AVOCATS, AU RESPECT DU "PRINCIPE DE LIBRE CONCURRENCE"

LE CONSEIL D'ETAT APPELLE, AU BÉNÉFICE DES AVOCATS, AU RESPECT DU "PRINCIPE DE LIBRE CONCURRENCE"
https://eye.newsletter.cnb.avocat.fr/m2?r=wAXNA6S4NWM4MjdhODNiOTVjZWUxYTFiYmJkODdmxBBJfNCB0JpE0L1PJtCq0MHsGXbQk9CCJLg2MGU1OGE4NjU1ZTI5MjFjMWY4MWM5YmS2YS52aWF0dXNAY25iLmF2b2NhdC5mcqCZti02andvYkVTU2RtMGRaNGtEeWlaY1GgtjJ2TEVONXR0UlRPUTh1dUVvZld2c2egtjR2OGVGcHQ2U1ltcWRBdDlHQmpfeVGgqkNPTlRBQ1RfSUSgs0VNQUlMX0NPUlJFQ1RJT05fSUSgsU9SSUdJTl9DQVBUSU9OX0lEoK5PUklHSU5fS0lORF9JRKCzUEhPTkVfQ09SUkVDVElPTl9JRKCoU1RBVEVfSUSgtnREQzBUTk1fVEdTckdxU3dNWmNON1Gg
« Conseil en ressources humaines » : le CNB obtient la réintégration du rôle de l’avocat
Le CNB obtient gain de cause devant le Conseil d’Etat face à l’instruction du ministère du travail du 4 juin 2020 sur les « prestations de conseil en ressources humaines aux TPE/PME » qui excluait les avocats. Le Conseil d’Etat conclut qu’ en excluant par principe les cabinets d’avocats des prestataires auxquels les entreprises peuvent faire appel pour bénéficier de la prise en charge par l’Etat de la prestation « conseil en ressources humaines », l’instruction attaquée porte en l’espèce une atteinte injustifiée au principe de libre concurrence.
A l’initiative des commissions Droit et entreprise et Exercice du droit de la précédente mandature, le CNB avait attaqué l’instruction n° DGEFP/MADEC/2020/90 DU 4 JUIN 2020 du Ministère du travail qui avait mis en place un dispositif permettant aux TPE/PME de bénéficier d’un accompagnement en matière de « conseil en ressources humaines » réalisé par un prestataire et co-financé par l’Etat, qui précise expressément que les cabinets d’avocats ne peuvent être prestataires.
Le Conseil d’Etat a rendu sa décision ce jour.
La ministre chargée du travail soutenait que les thématiques d’intervention dans lesquelles doit s’inscrire l’action des prestataires visés se rapportent à des matières concrètes de gestion des ressources humaines et que la prestation de « conseil en ressources humaines » ne saurait être réduite à une prestation de conseil juridique.
Le Conseil d’Etat constate cependant que plusieurs de ces matières comportent une dimension juridique et que les connaissances sur l’environnement institutionnel et l’expertise en matière de droit du travail sont des critères de contrôle de la qualité des prestataires auxquels les entreprises peuvent faire appel.
Il relève à cette occasion que « de nombreux cabinets d’avocats disposent d’une expérience en matière de conseil et de gestion des ressources humaines en entreprise. Si la ministre fait valoir que l’instruction doit être lue comme n’excluant pas le bénéfice de la prestation dans le cas où le cabinet d'avocats dispose d'une filiale spécialisée dans le conseil en ressources humaines, sous réserve que les consultants répondent aux conditions fixées par le cahier des charges, une telle distinction repose sur un critère d’organisation sans lien avec l’objet de la prestation ».
Le CNB obtient gain de cause devant le Conseil d’Etat face à l’instruction du ministère du travail du 4 juin 2020 sur les « prestations de conseil en ressources humaines aux TPE/PME » qui excluait les avocats. Le Conseil d’Etat conclut qu’ en excluant par principe les cabinets d’avocats des prestataires auxquels les entreprises peuvent faire appel pour bénéficier de la prise en charge par l’Etat de la prestation « conseil en ressources humaines », l’instruction attaquée porte en l’espèce une atteinte injustifiée au principe de libre concurrence.
A l’initiative des commissions Droit et entreprise et Exercice du droit de la précédente mandature, le CNB avait attaqué l’instruction n° DGEFP/MADEC/2020/90 DU 4 JUIN 2020 du Ministère du travail qui avait mis en place un dispositif permettant aux TPE/PME de bénéficier d’un accompagnement en matière de « conseil en ressources humaines » réalisé par un prestataire et co-financé par l’Etat, qui précise expressément que les cabinets d’avocats ne peuvent être prestataires.
Le Conseil d’Etat a rendu sa décision ce jour.
La ministre chargée du travail soutenait que les thématiques d’intervention dans lesquelles doit s’inscrire l’action des prestataires visés se rapportent à des matières concrètes de gestion des ressources humaines et que la prestation de « conseil en ressources humaines » ne saurait être réduite à une prestation de conseil juridique.
Le Conseil d’Etat constate cependant que plusieurs de ces matières comportent une dimension juridique et que les connaissances sur l’environnement institutionnel et l’expertise en matière de droit du travail sont des critères de contrôle de la qualité des prestataires auxquels les entreprises peuvent faire appel.
Il relève à cette occasion que « de nombreux cabinets d’avocats disposent d’une expérience en matière de conseil et de gestion des ressources humaines en entreprise. Si la ministre fait valoir que l’instruction doit être lue comme n’excluant pas le bénéfice de la prestation dans le cas où le cabinet d'avocats dispose d'une filiale spécialisée dans le conseil en ressources humaines, sous réserve que les consultants répondent aux conditions fixées par le cahier des charges, une telle distinction repose sur un critère d’organisation sans lien avec l’objet de la prestation ».
Il en conclut qu’en excluant par principe les cabinets d’avocats des prestataires auxquels les entreprises peuvent faire appel pour bénéficier de la prise en charge par l’Etat de la prestation « conseil en ressources humaines », l’instruction attaquée porte en l’espèce une atteinte injustifiée au principe de libre concurrence.

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 07:50
LES NOTAIRES DE PLUS EN PLUS SOUMIS À SEPTEO, SES ACTIONNAIRES, SON CLOUD ?
LES NOTAIRES DE PLUS EN PLUS SOUMIS À SEPTEO, SES ACTIONNAIRES, SON CLOUD ?

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5 avril 2022 2 05 /04 /avril /2022 20:48
DÉCIDÉMENT, AUCUNE ACTIVITÉ NE PEUT ÉCHAPPER AUX NOTAIRES  !

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